Celui qui vole l’or établit aussi les règles !

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La crise économique mondiale et la position de la Grèce : Revue historique et perspectives

L’économie mondiale se trouve à un moment critique, avec de plus en plus d’avertissements concernant un éventuel effondrement économique.

Nathan Rothschild a dit un jour : « Si je contrôle la richesse d’une nation, peu m’importe qui fait les lois ». Cette phrase, entendue il y a plus de 200 ans, reste d’actualité alors que le pouvoir économique est concentré entre les mains de quelques-uns.


Ces dernières années, le peuple grec a été confronté à une attaque ciblée de discrédit, d’appauvrissement économique, de dégradation morale, de pillage des biens publics et privés et d’aliénation de ses idéaux, de sa langue, de ses coutumes et de ses habitudes. Cette réalité tragique est le résultat d’une politique anti-grecque et perfide constante de la part de l’establishment politique, comme l’écrit l’histoire la plus récente de la nation grecque.

L’assassinat du gouverneur grec démocratiquement élu I. Kapodistrias en 1831 a annulé la résolution de la Constitution politique, qui devait être ratifiée par la 5e Assemblée nationale, et a arrêté le fonctionnement de l’institution de crédit d’État, la « Financière Hellénique », qui a été remplacée en 1841 par l’établissement de crédit privé d’intérêts étrangers, la « Banque Nationale de Grèce ». Depuis lors, le pouvoir à travers les processus démocratiques, qui aurait été la garantie de l’indépendance de l’État grec, est passé à des centres étrangers à l’hellénisme, avec des représentants des partis politiques à travers la monarchie établie et étrangère.

C’est un fait que, même si l’État a changé de nombreuses formes, la principale composante stable et responsable du régime au fil du temps, de 1832 à aujourd’hui, reste la partisannerie des partis. Depuis lors jusqu’à aujourd’hui, les partis sont responsables des malheurs de la nation grecque, car ils ont divisé, fragmenté et désintégré notre société. Ils sont responsables car non seulement ils n’ont jamais accompli leur devoir de protéger et de promouvoir les droits des citoyens grecs, mais ils ont également créé un environnement propice à l’imposition de conditions de captivité, d’engagement et d’asservissement dans les centres anti-grecs.

Les parties ont laissé l’établissement bancaire fonctionner dans une totale impunité, excluant toute possibilité de contrôle et l’exonérant de tout impôt et obligation de payer des frais. Ainsi, cette immunité totale a atteint le point de mettre l’État grec en faillite à plusieurs reprises. Les partis ont attribué le droit à l’établissement bancaire d’élaborer la politique économique de notre État et de créer les conditions de captivité des citoyens grecs à travers la dette.

En autorisant la création, après d’innombrables efforts, de la Banque Fédérale de réserve privée des États-Unis le 23/12/1913, qui contrôle l’émission de monnaie, est l’une des premières étapes qui ont conduit à cette situation.

Cette banque, bien que privée, a aujourd’hui acquis le contrôle absolu du système bancaire, influençant les économies du monde entier, d’abord par l’inflation, puis par la déflation, avec pour résultat que tous les citoyens et tous les États se noient aujourd’hui sous les dettes.

En 1931, la Banque des règlements internationaux a été fondée à Bâle, en Suisse, dont la Grèce est membre fondateur avec un capital social de 2,5 millions de Francs Français Or.

En 1944, la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International ont été fondés à Bretton Woods, aux États-Unis, dont la Grèce est également membre fondateur. Ces organisations visaient la stabilité économique et la prévention de la faim pour les générations futures, ainsi que le développement des États membres.

Comment se fait-il que la Grèce soit membre de tous les grands consortiums internationaux et que personne ne se demande pourquoi ? Est-ce parce que la Grèce « est la poule aux œufs d’or » et que les Grecs l’ignorent, tout comme ils ont ignoré l’existence de comptes en fiducie dans les banques grecques ?

La divulgation en 2012 par M. Artemis Sorras de 115.500 milliards de dollars de comptes en fiducie provenant du dépôt initial d’or a provoqué un émoi, qui dépasse aujourd’hui les 1.000 trillions car ils ont été composés à 4 % par an depuis 1966,67.

Cependant, la désactivation de la règle d’or en 1971 a ébranlé les fondements du système financier, entraînant une augmentation de l’économie souterraine et de l’incertitude.

Aujourd’hui, la situation économique mondiale est alarmante. La bulle de la dette a atteint des niveaux colossaux, menaçant d’étouffer les économies des pays. Les crises géopolitiques et environnementales aggravent encore la situation, entraînant faillites et instabilité.

La réponse à la crise nécessite une coopération internationale sans précédent. Vous ne pouvez pas imaginer ce qui peut arriver sur la planète.

Une nouvelle monnaie mondiale pourrait venir de la Grèce et des Grecs, car le pays a la capacité d’absorber la bulle et de ramener l’économie aux données du monde réel avec de l’argent réel, avec de la monnaie réelle, avec des garanties réelles et non volées, avec des hypothèses, cela nous devons changer maintenant et passer entre de véritables mains grecques, sinon nous entrerons dans une crise financière mondiale où, encore une fois, cela conviendra aux Grecs.

Le chemin vers la reprise économique sera semé d’embûches, mais il est impératif que nous agissions maintenant.

La sensibilisation des citoyens est essentielle pour créer un mouvement collectif en faveur d’un avenir économique durable. Ensemble, nous pouvons surmonter cette tempête et bâtir un système financier plus résilient pour les générations futures.

En conclusion, la situation économique mondiale est critique, mais il existe encore des moyens d’éviter un effondrement complet.

La prise de conscience, l’union et l’action collective des Grecs sont les clés pour traverser cette crise.

Ecrit et traduit par

Spiros Leftheriotis

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